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[Will - Noiseweb]

Allez, j'inaugure ce topic, qui, je pense, va très très vite s'étoffer de chroniques toutes aussi bonnes !

1ère chro de l'album parue sur Noiseweb, à paraître également dans le next METAL OBS', comme ALBUM DU MOIS de mai !!! ...

C'est là :
http://www.noise-web.com/chroniques/2009/thesevengates.htm

The Seven Gates
Angel Of Suffering (Limited Edition + DVD) (2009)
genre : True Death Metal
9,666 / 10
Heavy Artillery Records / Season Of Mist

Enfin ! Oui, enfin, cet album va sortir et tout le monde va enfin savoir pourquoi The Seven Gates est le premier groupe de vrai death-metal français à avoir réussi à signer sur un label américain ! C’est un exploit sans précédent et on va vous expliquer pourquoi. The Seven Gates, originaire de Mâcon, en Bourgogne, mais qui s’est ouvert sur des membres de Lyon depuis, on a découvert en juillet 2007 lors d’un concert à Lyon justement, en même temps que leur magistrale démo Gehenna’s Sword, où ils avaient laissé une salle exsangue, mettant la claque à tous les autres groupes et au public présents.

Tout y était : un groove incroyable dans les riffs (ce « Pressure », quel titre imparable!), à la manière d’un Morbid Angel, d’un Deicide ou d’un Immolation, bref des groupes de death metal des débuts, une brutalité contrôlée à coups de blast-beats pas supersoniques mais vraiment efficaces de la part de Régis Cognard (« Angel Of Suffering », « Gehenna’s Sword »), des changements de rythmes imparables et pète-cervicales (« Temple Of Ashes »), des soli monumentaux et diaboliques (« All Is In All ») d’un certain Michel Dumas, qui n’est autre qu’un des pionniers du death-metal en France (admiré par Trey Azaghtoth en personne), à l’époque où il fit partie de Mutilated, et des vocaux haineux et parfaitement posés de Vincent Urbain (bassiste/chanteur au très fort charisme), qui fit partie à l’époque d’Akhenaton, de Daemonium et Amaymon. Le tout forme un cocktail de puissance et de groove comme on en a rarement vu !

Bref, cet album a tout pour plaire aux fans de death-metal les plus exigeants, avec un côté old school prononcé, autrement dit avec beaucoup de feeling propice au headbanging le plus radical (« Quake Of The Hammer ») et au pogo le plus dévastateur. C’est très simple : il n’y a aucun titre faible dans cet album, c’est un véritable régal en 10 actes pour le fan de death, quel qu’il soit ; on a même presque envie de dire que The Seven Gates a réussi là où la plupart ont failli, à savoir sortir un truc monstrueux dès le premier album ! Alors, certes, on pourra toujours trouver des défauts à cet album, comme le son de batterie qui manque légèrement de puissance mais au final, cela fait encore ressortir davantage le son dantesque des guitares concocté par Serge de Almeida, l’ingé-son attitré du groupe, le tout ayant été masterisé de manière magistrale par Jean-Pierre Bouquet à l’Autre Studio. Vous pouvez nous croire, vous pouvez pousser le son à mort chez vous ou dans votre caisse, ça ne sature jamais !

Mais cette chronique ne serait pas complète si nous ne vous parlions pas du DVD bonus qui accompagne l’album sur les 2.000 premiers tirages. Et oui !!! Dès leur premier album, les musiciens et nous par la même occasion avons droit à un traitement de faveur, puisque le label du groupe a inclus un concert complet enregistré en 2008 à la maison, à la Cave à Musique, devant un public tout acquis et complètement déchaîné (là aussi, une première pour le premier album d’un groupe français, c’est vous dire si Heavy Artillery croit en The Seven Gates). Le son et l’image sont parfaits, filmés avec plusieurs caméras, enregistrés avec du matériel pro et montés avec beaucoup de dynamisme par Mehdi de Beyon-d-Lusion. Le tout est accompagné d’une galerie photos fournie (où figurent d’ailleurs pas mal de clichés de votre serviteur) et de clips officiels.

On ne va pas en rajouter ! Tout ce qu’on espère, c’est que maintenant, les labels français les plus en vue qui ont repoussé les avances du groupe pour être signés vont amèrement le regretter : s’il y a bien un album de death-metal à acheter en ce printemps, c’est celui de The Seven Gates, qui va mettre tout le monde d’accord ! Depuis l’enregistrement de l’album, le groupe a été renforcé par Adrien Madrignac à la guitare rythmique et par Kévin Ivancic à la batterie, qui est un vrai furieux ! The Seven Gates était déjà une machine de guerre, maintenant, c’est un Panzer lancé à plein vitesse qui va tout écraser sur son passage avec cet Angel Of Suffering monumental et une tournée européenne qui se profile pour l’été avec Exmortus ! Par le pouvoir de Chrome : Fire !!!!!!!!

Sortie en France le 2 juin, aux USA le 18 mai.

Site : http://www.myspace.com/thesevengates

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METALLIAN AVRIL 2009 :

THE SEVEN GATES « Angel Of Suffering » (Heavy Artillery)
Death-Metal old school

On peut dire que The Seven Gate aura connu en l’espace de deux ans, une trajectoire assez fulgurante qui l’aura fait passer du statut de jeune groupe à demo à celui de groupe confirmé de la scène death française ! Après quelques dizaines de concerts tonitruants, ce premier opus en est la preuve flagrante. Mené par deux trentenaires expérimentés (Lord Vincent Akhenaton et l’ex Mutilated Michel), The Seven Gates propose un death-metal très classique, dans une lignée Deicide ou Morbid Angel. Même les 2 autres musiciens, plus prC3s de la vingtaine que de la quarantaine se sont mis au diapason et il se dégage de cet album un feeling très fin des années 80-débuts des 90’s. Au programme donc, un death pur et dur, sans adjonction d’éléments modernes et qui alterne avec brio rythmiques débridées, riffs macabres et tempos mécaniques qui ne peuvent qu’appeler au headbanging frénétiques. Car des titres comme « Gehenna’s Sword », « The Serpent’s Wheel » ou « Selen » dispose d’un feeling et d’une efficacité qui peut faire penser au Loudblast période « Désincanate » - « Sublime Démentia ». On a l’impression que The Seven Gates a toujours existé et que nombre de ses chansons sont des classiques intemporels du death-metal. En plus, Michel vient vraiment prouver tout l’étendu de son talent en distillant tout au long du disque des solos aériens et très techniques qui forcent l’admiration. La voix caverneuse de Vincent fait merveille et la section rythmique est vraiment à la hauteur ! Même la production, réalisée avec de petits moyen, parvient à catapulter les 10 titres de l’album avec force et sincérité grâce a un son très organique très typé death Us. A noter que l’album sera disponible avec une plage vidéo. Une sortie incontournable en ce début d’année pour tout fan de death q ui se respecte !

Frank Arnaud


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METALSHIP webzine
http://metalship.org/albums/2985-Angel_Of_Suffering

The Seven Gates Angel Of Suffering (Album)
8/10
Souffle des '8Os...

The Seven Gates n’est pas vraiment un nouveau venu sur la scène française, même si cet album Angel of Suffering est le premier du groupe. En effet, parmi ses rangs, on trouve Michel, ex-Mutilated et ex-Winds Of Sirius et Vincent lui aussi ex-Winds Of Sirius et ex-Akhenathon et Daemonium… Bref, des pionniers de la scène extrême française qui renouent aujourd’hui le fer avec The Seven Gates. Groupe qui a rapidement gravi les échellons puisque après seulement une démo et un mini cd, The Seven Gates signe sur un label américain pour ce premier album !

Rien que les premières notes nous replongent dans un Death Metal à l’ancienne où on sent planer l’ombre d’un Morbid Angel, voire Autopsy… Le son est old school, ce qui ne signifie pas « sans maîtrise » et « cheap », loin de là !
Non, les pionniers n’ont rien perdu de leur maîtrise d’antan ! Les riffs sont puissants, efficaces et ravageurs !
Les solos de guitares sont carrément planant et aériens, comme sur Pressure ou encore Gehenna’s Sword, le tout soutenu par une batterie qui fait mouche à chaque fois, comme le montre No Salvation par exemple.
La musique qui se dégage de ce premier album est somme toute assez sombre et violente. Ce disque est une véritable invitation au headbanging.
Avec Angel Of Suffering, The Seven Gates en profite pour nous faire bénéficier des anciens titres disponibles sur le mini cd Gehenna’s Sword qui sont tous inclus sur l’album. Ces titres s’incorporent très bien à l’ensemble, qui est assez homogène. Ce qui veut dire que les titres n’ont pas vieilli d’un poil et on ne saurait dire lesquels sont les plus anciens.

Le chant death de Vincent convient parfaitement pour créer des ambiances macabres tout au long de ce nouvel opus et fait des ravages ! De plus, sa basse, sur le titre éponyme par exemple, vient apporter de la puissance à tout ce chaos sonore qui sent bon les débuts du Death Metal des années ’80 !

La maîtrise avec laquelle le groupe recrée un climat très old school nous donne l’impression de connaître par cœur chaque morceau et de l’avoir déjà entendu mille fois, mais pas dans le sens négatif du terme, plutôt dans le sens où l’on a l’impression que chaque morceau est culte. Comme si, à l’image d’un Obituary, The Seven Gates se réveillait d’une longue hibernation, sans avoir bougé d’un iota.
En bref, cet opus est un must pour tout fan de Death Metal à tendances Old School, et surtout pour ceux qui soutiennent la scène française !! La puissance et la maîtrise avec lesquelles sont exécutés cet album en font assurément un album de référence dans le paysage musical français signé aux States…
Avec The Seven Gates, une folle envie de se (re)plonger dans la scène Death Old School Française se fait ressentir, mais la plupart des groupes ont disparu aujourd’hui…
Alors que Massacra, Sepulchral ou encore Frayeurs et Infest ne sont plus, The Seven Gates vient si hisser aux côtés d’Agressor en chef de file du Death Metal Made In France !!!
Rappelons juste : Ils sont Bourguignons !!!

par Pit, le 28 mai 2009



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LORDS OF METAL (NL)
http://www.lordsofmetal.nl/showreview.php?id=14141&lang=en


The Seven Gates - Angel Of Suffering
Heavy Artillery
Death metal

By Tormentor Erich :

When I hear a band name like The Seven Gates some other names pop up in my head such as Venom because of ‘The Seven Gates Of Hell’, Possessed (‘Beyond The Gates’) and of course At The Gates, and you can probably add some more to this list. But despite this well-known sounding name the music from these French guys has no strong connection to these other bands. The Seven Gates are much more into underground death metal and this is not so strange because some band members used to be active in acts such as Daemonium, Akhenaton and Mutilated.

The Seven Gates present us ten song on ‘Angel Of Suffering’. They are in the same vein of early Entombed, Morbid Angel and Deicide stuff. The changes between mid-tempo, extra slow or faster parts are very present. The melodic solos and firm riffs from tracks such as ‘Gehenna’s Sword’ or ‘All Is In All’ are played just fine and also the great opening from ‘Quake Of The Hammer’ is something to check out. The title track has this interesting mid tempo part that sounds cool and so far everything seems to be well. But there is a little problem. During the listening sessions of ‘Angel Of Suffering’ I sometimes got this “hmm yes, I have heard this already before” feeling and I also have to say that the slow riffs from ‘Pressure’ are not that exciting and a song like ‘Temple Of Ashes’ sounds just a bit too standard. The same counts for the production, not bad, but not the best of the world either. When the forty-three minutes of music have passed I come to the same conclusion every time again: what you hear sounds good and these men know how to play some decent death metal, but it is not enough to keep me interested all the way. I would say that The Seven Gates still have to grow a bit, but it would be wise to keep an eye on them.

Rating : 75/100
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New chro ici :

http://www.lechantdugrillon.fr/Chroniques-Metal-1081-the-seven-gates-angel-of-suffering.html



THE SEVEN GATES
Angel of Suffering

Label : Heavy Artillery Records
Nombre de titres : 10
Durée : 43:41 minutes
Pays : France

Chronique par Jean-Mimi

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Fan de Death Metal, je suis et fan… je resterai. Sur ce principe ; comment ne pas être accro à un missile de la trempe d’Angel of Suffering ? Alors pour bien comprendre le processus d’une totale annihilation causée par le Skud, il est nécessaire de faire un Flash Back !

Il y a peu, nous avions reçu « Gehenna’s Sword » et en 4 parpaings d’une puissance à défragmenter une ogive en plein vol, nous avions songé sérieusement à prendre des vacances. Fort heureusement, le gros du boulot me fut confié et j’ai toujours ma combinaison spéciale ! Néanmoins, l’irradiation me pris à la gorge, faisant de moi un Zombi à la recherche du vrai Son, d’un art de vivre, d’un Métal en fusion sans concession et sans influence. J’errai sur la planète « Brutale » quand trébuchant d’apostasie en réglementation formatée, les T-M m’expédièrent leur dernière offrande. Celle-ci souleva immédiatement en moi :

Force & Chaos !

Le 1er titre me transperça tel : la lance d’un ange déchu exigeant ma rédemption. Le choc fut à l’image de l’ambiance « Féroce & terrifiante » et cela malgré une harmonie imparable justifiée d’un souffle à la carrure impériale. D’ailleurs, les cordes ont toutes les peines du monde à dominer la voix d’un enragé et si le Blasteur en chef ne venait pas nous casser la gueule à multiple reprises, j’en serais encore figé sur place.

"Pressure" marque au fer rouge son empreinte dans ton cerveau, sa mélodie particulière « sent bon » la danse collective en live et concentre toi mon ami, car ce titre t’ébouriffe de puissance et de fureur. Absolument gigantesque, ce morceau ne va jamais plier, pire… il ne cédera pas un pouce de terrain au pèlerin compatissant que je suis ! Le tempo semble vouloir ma peau et c’est en me faisant littéralement tataner par une nuée de solos, que je percevais un air aussi frais que familier. En effet, un Gehenna’s Sword à grand renfort de riffs tractopelles m’envahie d’allégresse. Cette fois, la messe est dite ! Je ne me rendrai pas sans combattre, pourtant « All is in all » commence son instrumentalisation de destruction en parachutant, Blasts, Riffs et solos d’une efficacité redoutable et cette voix, putain quelle voix !!!! C’est à cet instant, que l’idée de trouver fissa une issue va t’effleurer l’esprit, mais point d’échappatoire « The Serpent’s wheel » vient carrément te chercher dans la grotte et tu n’as qu’une alternative : le Headbanging ou périr !!!!

INTERLUDE & SACREMENT !

"Selen" et les garçons vont dérouler un tapis de feu ; afin de préparer les érudits pour le grand saut. Quake of the Hammer débute sous une frappe chirurgicale, la batterie idéalement mixée berce t-elle nos illusions en teneur énergétique ? Houlà non, il ne faut pas rêver, car les guitares sont toujours là, comme un éternel rappel à l’ordre et si les Riffs t’incitent à la débauche, les solos seront sans pitié. Comment ont-il fait pour cultiver un champ émotionnel sur ces plaines amplifiées d’une hécatombe ? Mystère, par contre… une chose est certaine, le travail des cordes est un enchantement, pas un titre en dessous, pas le moindre écart au style, rien nada… tu en prends pour ton grade « non stop » du début à la fin ! Alors, bien sur certains idolâtreront un « Temple of Ashes » regorgeant de feeling. D’autres, un « No Salvation » intense et possédé. De toute façon, quoi qu’il advienne, un adepte ne peut qu’être « interpellé » par la matière d’un tel disque. J’en veux pour preuve la fermeture des 7 portes sur un « Kingdom of the lost » aussi précis que soigné et certes, c’est diablement fort ! Bilan des courses, ils ont sondé nos cerveaux et pensé à notre place. Alors si Vader, t’adhère. Si Deicide te décide et si Immolation t’apporte l’absolution : Angel of Suffering va te mettre sur le Ring et en bon bourre-pifologue, prépare toi à ramasser une avoine, car les Titans Mâconnais viennent d’en ouvrir une Huitième et celle là, n’est pas prête de se refermer !
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Plein de chros internationales vont bientôt arriver ici, le temps de les compiler...

En attendant, une nouvelle excellente chro publiée sur Zone Express Metal Mag'...

C'est là :
http://zonexpressmetalmag.unblog.fr/2009/08/01/the-seven-gates-death-metal-france-2/

Contenu :

Voici un groupe qui avait déjà su marquer le webzine il y a quelques temps maintenant (2007) et qui nous fait un retour époustouflant avec son album “Angel Of Suffering” parfaitement abouti, un disque qui va pouvoir faire l'unanimité mais surtout la fierté de la France en matière de death metal.
L'univers du combo dépote sévère avec un metal qui préfigure celui que nous écoutions il y a vingt ans en arrière, il renforce la comparaison avec leurs illustres aînés mais que les fans de metal se rassurent, les compositions corrosives de la galette sont structurées en un tout cohérent qui fait que nos musiciens sont bien dans l'air du temps et développent un prosélytisme qui ne peut laisser indifférent.
Vincent, le chanteur à qui j'adresse mes pensées amicales et sincère respect, prend possession de votre corps et de votre esprit, les morceaux fourmillent de riffs, promis à de belles heures sur scène, si bien que notre attention est toujours tenue en éveil, d'autant que The Seven Gates ne manque pas de surprendre par sa technicité et on se met à genoux devant un tel étalage de compétences.
De plus, un des atouts du groupe est de jouer un death brutal et rythmé qui semble faire mouche à tous les coups. Le juste bruit en somme volontairement hypnotique et entrainant qui on l'espère, pourra nourrir un peu plus le marais des morts-vivants sur un deuxième album.
En bref, une oeuvre carrée et efficace où le groupe s'est chargé de nous donner le coup de grâce à travers des morceaux qui laissent entrevoir un avenir prometteur pour ne pas dire des bases solides d'une future légende.

NOTE: 9,5/10

Chroniqueur: C.S.
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Une nouvelle chro sur Kaosguards (webzine), là :

http://www.kaosguards.com/content/view/2692/43/
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Une autre chronique qui tue sur Pavillon 666, là :

http://www.pavillon666.fr/chronique-metal-4170.php

9/10 !!
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